21 de febrero de 2013

Mêlés de métal et d'agate.

Escribo por necesidad. Lo sé. Es inevitable.
Cuando llego a casa y siento que necesito algo, que mi subconsciente está luchando por algo que no puedo solucionar, me rindo a las palabras (por la noche tocar el piano es problemático...).
Pero esta vez es curioso. Me he dejado a un lado y me he volcado en Baudelaire.
Es una obsesión esta poesía. Me agarra, me retuerce y me acaricia, cual marioneta.
Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux,
retiens les griffes de ta patte,
et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,
mêlés de métal et d'agate.
Lorsque mes doigts caressent à loisir
ta tête et ton dos élastique,
et que ma main s'enivre du plaisir
de palper ton corps électrique.
Je vois ma femme en esprit. Son regard,
comme le tien, aimable bête,
profond et froid, coupe et fend comme un dard,
Et, des pieds jusques à la tête,
un air subtil, un dangereux parfum
nagent autour de son corps brun.

Es enfermizo.